... trouvé un stage à Paris (youplaboum). Ou plutôt deux, en fait. J'ai passé les entretiens jeudi, et le lendemain, ils me rappelaient pour me supplier de venir travailler chez eux (ils me veulent tous) (je les comprends tellement).
Alors voilà, j'ai le choix entre des filtres à café, ou bien de L'ALCOOL BIEN FAT QUI ENVOIE LE PATé BIEN LOURD.
A ton avis, Lecteur, qu'ai je choisi ? (Un bisou au gloss fraicheur de gingembre à la clé)
Je suis revenue hier soir de Paris, tard, fatiguée, dans un wagon qui à mon humble avis était genre reservé pour les familles détentrices de bébés de 6 mois choux au premier coup d'oeil, et over re-lou au deuxième coup d'oreille.
Cela dit, le trajet ne durait que 1h30. Au bout d'une heure de voyage, c'est le drame.
CLANG ! (trop d'effets spéciaux sur ce blog)
Le train s'arrête.
"Mesdames et Messieurs, on a heurté un bloc de béton, c'est la méga louze, on attend comme des cons" (en trés gros).
2h30 plus tard (LAULE), on repart.
"Mesdames et Messieurs, le conducteur trop ouf a tout réparé, pour ceux qui se sont faits pinés au niveau des correspondances, remboursement et champagne pour tout le monde" (toujours en gros hein)
Les braves gens concernés par l'annonce pousse des "AAAAAH" de soulagement, et s'adonnent même à 1 ou 2 blagues avec leurs voisins pour détendre l'atmosphère (Ex : "Ah ah dis donc, un vrai calvaire ces plaques de béton") (Non, moi non plus je vois pas l'humour) (Mais les gens rigolaient)
Genre 30 secondes plus tard ...
"Mesdames et Messieurs, on a décidé de bien vous prendre pour des cons pur gland, et vous dire qu'en fait, c'était pas du béton, c'était un sanglier. C'était donc impossible pour la SNCF de prévoir un tel incident, alors en définitive, pour les remboursements, vous l'avez dans le baba... Désolée bonsoir".
Muh uh.
M'en fous, j'avais pas de correspondance.